La société des Amis du Musée du Pays Châtillonnais – Trésor de Vix (AMPC) est une association créée en 1996.

Elle compte en 2022 quelque 200 adhérents.

Son but est de contribuer
• à la promotion et au rayonnement du musée
• à l’enrichissement des collections et à l'amélioration des équipements du musée
• à une meilleure accessibilité du musée pour tous.

A l’intention de ses adhérents, mais aussi des habitants du Châtillonnais, l’AMPC organise des conférences dont les thèmes sont généralement liés aux collections du musée ou au patrimoine de la région. Des sorties culturelles sont également proposées aux adhérents.

Grâce à de généreux partenaires intervenant dans le cadre d’opérations de mécénat, des acquisitions, des restaurations et des opérations à caractère social ont pu être réalisées.
Quelques acquisitions ou restaurations récentes réalisées avec le soutien de l’AMPC.
• 2004 : acquisition de deux bagues en or de l’époque de la Dame de Vix
• 2005 : achat d’un bureau ayant appartenu au maréchal Marmont
• 2012 : achat de deux tableaux de Daffinger (maréchal Marmont)
• 2013 : restauration d’une collection ornithologique représentative de la phone locale et destinée à illustrer l’environnement naturel du Châtillonnais (nouvelle salle ouverte en été 2015)
Achat de deux lettres autographes de Victorine de Chastenay (2014)

Installation d'audioguides munis de commentaires en français, anglais, allemand et néerlandais.

Pour le Musée

·         Contribution au financement d’une étude des matériaux organiques préservés sur le mobilier métallique de la tombe de Vix. Les matériaux organiques (tissus, cuirs) présents dans la tombe se décomposent.  Quand ils sont au contact de métaux, un phénomène de fossilisation intervient.  Des sels minéraux (fer et cuivre) migrent vers les dépôts organiques et les remplacent en partie.  L’étude de ces fossiles renseigne sur le matériau organique original, tissu ou cuir notamment.  D’où des informations sur les techniques artisanales (travail du bois par exemple ou tissage par exemple) et les rites funéraires (envelopper les objets dans des bandelettes).

Ce qui a été fait est un inventaire des objets métalliques comprenant des dépôts fossilisés et donc éligibles à une étude plus poussée.  Il n’y en a pas beaucoup : des clous et crochets ainsi qu’une partie du timon.